Navigation Menu+

L’effet de richessse : définition

L’effet de richesse : définition

Quand on parle de l’effet de richesse, on parle en effet de l’effet « Pigou ». PIgou était un célèbre économiste qui a élaboré ce concept. Il a conçu cette notion pour donner des réponses classique  la théorie keynésienne lors de sa marche triomphale vers le gouvernement des économies et des politiques.

Principes de l’effet de richesse

Le concept se résume que si un individu se sent riche, il est à l’aise avec l’idée de consommer, et quand l’individu se sent encore plus riche, il a tendance à profiter de l’effet de richesse. En science économie, on parle de propension à dépenser.

effet-de-richesse.jpg

Mais ici on parle de propension à dépenser de plus en plus importante autant que le revenu s’accroît. Autrement dit, la consommation s’accroît plus rapidement que la richesse des ménages augmente. L’étude des effets de richesse devient plus intéressante et pertinente dans les économies lorsque les actifs des ménages y sont énergiquement financiarisés. Plus explicitement, plus l’agent économique dont le ménage en particulier se sent riche, davantage il dépense. Il se sent riche et dépense comme un riche, et plus il est riche plus il consomme. L’amélioration de certaine forme de richesse influe l’élargissement de la consommation.

L’effet de richesse et le taux d’épargne aux Etats-Unis

Aux Etats-Unis, une grande partie du patrimoine des ménages est constituée par des actions où l’évolution de la bourse détermine, dans la plupart des cas, l’effet de richesse. Il est vérifié que l’effet de richesse définit  l’impact de la hausse ou de la baisse de la valeur du patrimoine des ménages américains. Par exemple le développement inhabituel des marchés financiers des années 90 justifie la régularité de consommation américaine durant cette période.

taux-depargne.jpg

Le comportement des ménages en matière de consommation, d’épargne et d’investissement, ainsi que celui du placement et de l’endettement,  est fonction de l’effet de richesse. Plus particulièrement, il existe une corrélation négative entre le taux d’épargne et l’effet de richesse  durant les années 90, sinon plus longtemps. Il ne faut pas oublier l’effet de richesse positif soutenu par l’endettement, et par voie de conséquence la baisse du taux d’épargne de ménages américains. Dans le temps en Amérique, les marchés immobiliers et la croissance de l’endettement sont des paramètres économiques qui désignent les méfaits de l’effet de richesse.